Mon titre officiel est très long, mais vous pouvez simplement m'appeler Zarka. Ça ne plairait guère aux plus jeunes qui rabâchent sans cesse nos strictes traditions, mais mon âge avancé m'autorise quelques écarts, alors je ne m'en prive pas ! Mon rôle est celui de gardienne des contes. Au lieu de devenir une {dekhara} ou de me voir confier d'autres devoirs, mon prédécesseur m'a choisi personnellement pour lui succéder. Je ne suis pas autorisée à participer aux combats, car les histoires que je détiens sont l'une de nos ressources les plus précieuses. Nous appréhendons les plaines de Vastiri à travers le prisme de ces mots transmis au fil des siècles. Nous voyons ce que dissimulent aujourd'hui les sables du désert et nous entendons aussi bien les proclamations courageuses que les lamentations peinées de jadis. Incarner les yeux et les oreilles des Arduras : tel est mon rôle ici-bas. — Rang et statut |
Nous vous conduirons au Passage de la traîtresse, d'où vous pourrez gravir les falaises. — MysticGoToG2_town |
Ah oui, {jingakh}, il paraît que Keth vous intéresse. Si vous voulez que l'on s'y rende, j'aimerais que vous nous rendiez un service. Quand j'étais enfant, avant que je ne danse avec le scorpion, mon histoire préférée était celle d'un esprit dansant dans les ruines de Keth : le dernier djinn, le troisième serviteur de l'eau, du nom d'Amnaah. Sa force est moindre, de sorte qu'un mortel pourrait être capable de le vaincre.
Depuis lors, je caresse l'espoir que ce conte, comme tous ceux que je connais, possède une part de vérité. Capturer cet être prouvera que les récits que je garde en mémoire et que je transmets à la jeune génération sont plus que de simples mythes. Au fil des années, j'ai recherché des artéfacts capables d'emprisonner un tel être. Je pense que cette bouteille serait propice à cet usage. Pourriez-vous la prendre et capturer Amnaah ? Vous feriez le bonheur d'une jeune fille, bien que le temps l'ait depuis longtemps rattrapée. — MysticFindDjinn |
C'est là notre fléau. Le désert est une Sekhema cruelle. Ce n'est pas la chaleur qui vous tue, ni la soif ou le vent glacial qui souffle la nuit. La Calamité du désert brise les liens qui nous unissent les uns aux autres. Le désert est en perpétuel changement, et un rocher ressemble à s'y méprendre à un autre. Les personnes qui dévient de leur chemin, ne serait-ce qu'un instant, sont vouées à disparaître. Celles qui tombent parmi les dunes sont oubliées, leurs corps perdus à jamais, ensevelis par le sable. Quand j'étais enfant, je faisais parfois des cauchemars à propos d'une strate souterraine… Une strate d'ossements… D'innombrables générations de Marakeths effacés des mémoires… Être oublié sous les sables est notre plus grande peur, peu d'entre nous osent en parler. C'est pourquoi la promesse de se souvenir de quelqu'un est la plus grande preuve de respect aux yeux des enfants du désert. — La malédiction du désert |
Ah. Je vois. Vous feriez bien de ne montrer cette lettre à personne d'autre, mon enfant. Si l'on me questionne à son sujet, je feindrai la démence. Je vous suggère de… vous en débarrasser… en la donnant à quelqu'un qui ne saura pas la lire. Me suis-je bien fait comprendre ? — Montrer la Lettre d'adieu à Zarka |
Nasima, oui, Nasima ! Une grande guerrière, à l'héritage complexe. Née avec des yeux de sang, elle fut abandonnée dans les dunes, car on la croyait aveugle, mais les Fariduns la recueillirent et l'élevèrent. On aurait pu croire qu'elle serait une {balbalakh}, mais non. Elle devint une remarquable guerrière de son propre chef. Lorsqu'elle participa à une attaque sur son peuple, elle reconnut la voix de sa mère et se retourna contre ses ravisseurs fariduns ! C'est un véritable parangon des temps anciens, et un merveilleux conte pour les enfants. — Nasima de la Seconde Vue |
Je raconterai votre histoire, {jingakh}. Revenez à l'avenir, et vous entendrez peut-être Risu la raconter à ma place. — Au revoir |
Tous les jeunes se ressemblent. Faridun, Maraketh, est-ce vraiment important aux yeux d'une vieillarde ? Certains peuvent désapprouver que je permette à Risu de s'asseoir pour écouter mes histoires, mais personne ne peut me faire taire. — Risu |
Avant de perdre la vue au combat, elle était une guerrière féroce, concentrée, déterminée. Sa cécité n'a rien changé. Je suis sûre qu'elle maîtrisera suffisamment l'art du combat à l'aveugle pour réintégrer un jour les rangs. Après tout, des {dekharas} aveugles ont autrefois joué un rôle clef dans l'anéantissement d'une Légion éternelle, profitant habilement d'une tempête de sable pour tendre une embuscade. — Shambrin |
Faites-lui confiance, {jingakh}. Tant que vous êtes ici, elle est votre Sekhema et elle vous guidera. — Asala |
Je vous raconte cette histoire telle qu'elle me fut racontée par la conteuse de notre {akhara}, et comme elle lui fut racontée par les conteuses qui la précédaient. Ces mots n'ont jamais changé. Il y a de nombreux millénaires, nous étions un peuple simple. Des chasseurs. Des vagabonds. Nous nous déplacions de vallée en vallée à la recherche de viande et de baies. La discipline que nous connaissons aujourd'hui n'existait pas, mais c'était sur le point de changer. Ces belles plaines perdirent leur abondance et leur lumière, durant une époque que ces générations appelèrent l'Hiver du monde. Ce millénaire de glace apporta avec lui misère et souffrance, mais ce n'était que le début. Au sud, le tyran étranger Ahn tomba. D'horribles créatures, apparemment engendrées par une magie impie, d'os et de sang, affluèrent dans ces ténèbres. Pour survivre, il fallut s'unir et créer de strictes traditions qui évoluèrent pour finalement devenir celles que nous connaissons aujourd'hui. Combattre, c'était vivre. Le désordre, c'était la mort. Dans les profondeurs les plus obscures de cette ère, alors que l'espoir n'était plus qu'un souvenir, les sœurs jumelles et sekhemas Soléraï et Lundara se dressèrent pour unifier nos tribus dispersées pour la première fois. Elles manièrent l'essence de l'or et de l'argent, qui brillait d'un éclat si terrible que les cieux gris n'eurent d'autre choix que de se dérober. Les créatures se retirèrent sous les sables, oubliées à jamais, et nos belles plaines furent à nouveau recouvertes de forêts émeraude et de lacs de saphir. Ce fut le début de l'âge le plus glorieux pour notre peuple. Une ère de conquête, de richesse, de grands héros et de divinité qui dura un autre millénaire. Mais alors, un terrible hiver vint… et les dieux disparurent. Notre bien-aimée Garukhan fut la dernière à succomber, tenant bon pendant deux lunes, en proie à un implacable dépérissement. Elle donna ses derniers ordres, nous demandant de respecter nos traditions, puis se tut. Les Marakeths ne furent pas troublés. Ils ne perdirent pas espoir. Nous connaissions notre peuple et ces valeurs ne nous avaient pas quittés avec les dieux. Quand le ciel a pris feu, quand les Vaals se sont effondrés, quand les Éternels sont venus nous asservir et quand ils se sont effondrés à leur tour, nous avons survécu. Nous avons protégé ces belles plaines pendant trois cent quatre générations et nous continuerons à les protéger pendant trois cent quatre autres générations. C'est notre devoir et notre droit de naissance. — Histoire des Plaines de Vastiri |
Étant donné que nous n'avons pas quarante-cinq heures devant nous, je vais vous raconter une petite partie des aventures d'Orbala la Sekhema des Sekhemas. Sa seconde aventure se déroula trois lunes avant sa danse avec le scorpion. Elle n'était pas Sekhema à l'époque, pas même une {dekhara}. La nouvelle de sa première aventure ne s'était pas encore répandue non plus, car seule sa sœur était au courant du vol de la lance de Soléraï qui se termina par l'incendie de Stridevolf. C'était donc encore une inconnue. C'est pourquoi elle ne dit rien lorsqu'un dignitaire vaal en visite insulta sa mère. C'était un adepte d'Arakaali, et il souhaitait se livrer à des activités inavouables. Quand la mère d'Orbala le repoussa, il proféra des paroles abjectes, puis s'en fut. Orbala ne pouvait pas laisser ses actes impunis. Elle s'éclipsa de sa maison durant la nuit et traqua le cortège du dignitaire sur des chemins forestiers inconnus. Elle le retrouva en train de prendre un bain à l'embouchure de la seconde rivière de Keth, Halani. D'un tir précis, elle lui transperça la gorge d'une seule flèche. À cet instant, son cortège se montra et expliqua qu'il n'était qu'un espion maraketh jouant un rôle et que cette provocation visait à faire parler de lui. On donna le choix à Orbala : répondre de ses actes devant la justice des plaines pour avoir tué un agent important ou revêtir ses habits et accomplir sa mission en se faisant passer pour un dignitaire vaal afin que les Sekhemas puissent évaluer les menaces à la frontière des deux peuples. Sa ruse fut couronnée de succès malgré une succession de péripéties aussi dangereuses que cocasses, même si cette aventure se solda également par l'incendie de Lira Vaal. — Les huit aventures d'Orbala |
Cette requête vous honore, mais cette histoire est plutôt longue ! Il me faudrait cinq jours entiers pour la raconter. Pourriez-vous attendre la fin de ce conflit ? — MysticOnKalandra |
Je suis désolée, {jingakh}. Je ne pense pas avoir la force de raconter une histoire aussi terrifiante. Je dois consacrer le temps qu'il me reste à enseigner mes récits à Risu. Peut-être qu'un jour, elle vous la racontera. — MysticOnKalandraLater |
Nous y voilà. Vous pouvez débarquer de ce côté. Gardes ! Abaissez la rampe ! — MysticTraitorsPassageArrived |
Votre ombre est donc le Voleur de vertu. Je m'en doutais. Il existe de nombreux récits contradictoires sur les événements ayant provoqué le retour et la mort des dieux. Mais une chose reste vraie dans chacune de ces rumeurs : il a joué un rôle crucial. Je vous renvoie aux grandes aventures d'Orbala. Chacune de ses histoires se solde par la destruction d'au moins une ville… Pourtant elle demeure une héroïne et nous nous souvenons toujours d'elle avec tendresse, car ses intentions étaient nobles. Comme le dit la légende, la plante grimpe vers le soleil pour sa lumière. Elle ne cherche pas à faire s'écrouler le mur. Il en va de même pour ce désert. Nous ne fermons pas les yeux sur sa transformation. Nous savons qu'il était autrefois verdoyant et nous savons qu'il le sera à nouveau un jour. Avec le temps, ce qui est détruit sera toujours régénéré, et peut-être que le Voleur de vertu finira lui aussi par se pardonner. — Le Voleur de la vertu |
Nous attendrons ici, {jingakh}, mais les chariots militaires sont partis pour les portes. Hâtez-vous ! — MysticTraitorsPassageSendoff |
Nous avons envoyé une {dekhara} sur l'île d'Ogham pour glaner des informations sur la corruption. Elle a corroboré une grande partie des révélations de votre ombre et a également rapporté quelques récits. Vous remplissez à merveille le rôle de mercenaire, étant donné que vous avez fait la même chose à Ogham pour leur héros légendaire, Finn. Les nouveaux mythes ézomytes se font rares par ici. Les autres conteuses ne vont pas en revenir quand je leur raconterai comment Finn a sauvé Ogham et construit un grand manoir dans les cimes afin d'héberger ses loyaux vassaux. Incroyable ! Une forteresse {dans les arbres} ? Je n'ai jamais vu un arbre en bonne santé, mais Ogham est recouverte de troncs aussi hauts que les anciennes portes ! Des forêts entières, des rivières aussi ! Quel endroit merveilleux. — MysticOnEzomytes |
Le changement. Et le temps. — MysticConversationWithMentorOne |
Assurément, et c'est ce qui a prolongé l'agonie de Keth pendant plusieurs siècles. C'est devenu une vulnérabilité, une cible pour les pillards. Mieux vaut achever une bête blessée. — MysticConversationWithMentorTwo |
Que pouvez-vous me dire de plus sur Garukhan ? — MysticConversationWithMentorThree |
Une âme partagée par tous les Marakeths. — MysticConversationWithMentorFour |
Oui, mais leur emplacement est bien protégé. — MysticConversationWithAsalaOne |
Une conteuse préférerait mourir plutôt que de divulguer ses secrets. — MysticConversationWithAsalaTwo |
Les autres {akharas} vous surnomment « Main des Arduras ». — MysticConversationWithAsalaThree |
Ce n'est pas à moi de le dire, mon enfant. — MysticConversationWithAsalaFour |
Et vous avez raison, à moins que quelqu'un de plus compétent ne se manifeste. — MysticConversationWithAsalaFive |
Bien sûr, mon enfant. Il y a toujours une nouvelle histoire à raconter. La nouvelle lune approche. — MysticConversationWithRisuOne |
Ce n'est pas l'histoire que je raconte habituellement à la nouvelle lune, mais rien ne nous empêche de changer un peu ! — MysticConversationWithRisuTwo |
Est-ce que les Fariduns racontent des histoires ? — MysticConversationWithRisuThree |
Non, qui était-il ? — MysticConversationWithRisuFour |
J'ai peine à y croire. Le poison est une arme sournoise et indigne. — MysticConversationWithRisuFive |
{Ah…}{Ah…
} — MysticConversationWithRisuSix |
Bienvenue chez les Arduras… Oh, hmm. Je sais qui {vous} êtes. Pas d'inquiétude… Je ne vous en tiendrai pas rigueur, ma fille, mais nous ne pouvons pas voyager pour le moment. Les hommes-hyènes bloquent la route commerciale un peu plus loin. Pour l'instant, nous sommes coincés ici. — Présentations |
Vous souhaitez voyager avec notre caravane ? Ce n'est malheureusement pas possible pour le moment. Les hommes-hyènes bloquent la route commerciale un peu plus loin. Pour l'instant, nous sommes coincés ici. — Présentations |
C'est {vous} qui avez terrassé les pillards ? Malgré votre passé, nous pourrions avoir besoin de vos talents. Bienvenue dans l'{akhara} des Arduras. Vous pouvez rejoindre notre caravane en échange de vos services. Nous vous traiterons comme l'une des nôtres tant que vous resterez parmi nous. Toute personne qui s'y oppose aura affaire à moi. — La Caravane des Arduras |
{C'est {vous} qui avez terrassé les pillards ? Le destin nous envoie un étranger providentiel ! Bienvenue dans l'{akhara} des Arduras. }{C'est {vous} qui avez terrassé les pillards ? Le destin nous envoie une étrangère providentielle ! Bienvenue dans l'{akhara} des Arduras. }{Vous pouvez rejoindre notre caravane en échange de vos services. En tant que {jingakh}, nous vous témoignerons une déférence similaire à celle que nous réservons aux nôtres tant que vous resterez parmi nous.}{Vous pouvez rejoindre notre caravane en échange de vos services. En tant que {jingakh}, nous vous témoignerons une déférence similaire à celle que nous réservons aux nôtres tant que vous resterez parmi nous.} — La Caravane des Arduras |
Vous avez libéré Balbala, la traîtresse ? Alors c'est à vous que revient le devoir de racheter son âme en la laissant vous guider lors de votre danse avec le scorpion. Cette tâche est loin d'être simple, car il vous faut respecter les anciennes coutumes. Parlez-en à Asala. Le lieu de l'ancienne épreuve n'est pas loin d'ici, et la caravane est dans l'obligation de vous y amener. — L'Épreuve des Sekhemas |
Vous avez libéré Balbala la traîtresse ? Alors c'est à vous que revient le devoir de racheter son âme en la laissant vous guider en tant que djinn lors de votre danse avec le scorpion. En ces temps modernes, nous faisons passer un simple test aux futurs {dekharas}. Cependant, pour {cette} tâche, il vous faudra respecter les anciennes coutumes. C'est une épreuve bien plus périlleuse. Parlez-en à Asala. Le lieu de l'ancienne épreuve n'est pas loin d'ici, et la caravane est dans l'obligation de vous y amener. — L'Épreuve des Sekhemas |
Je suis fière de vous, ma fille. Peu de gens ont la force de se racheter, et encore moins de guider les autres vers la rédemption. Peut-être qu'un jour, vous mènerez votre propre {akhara}. — ZarkaA2AscendancyCompletedSorceress |
Nous vivons une ère de changement ! Depuis quatre-vingts générations, l'histoire de Balbala est restée la même, mais vous en avez changé la fin. Le désert est aujourd'hui un peu plus clément. — ZarkaA2AscendancyCompleted |
Une barrière de sable ! Une magie infecte, tout droit sortie des légendes ! — ZarkaA2SandstormSeen |
Jamanra peut contrôler les sables ? Il ne possédait pas ce talent de son vivant, il s'agit manifestement de l'œuvre de la corruption. Les récits ancestraux évoquent {quelque chose} qui pourrait nous aider à contrer un tel pouvoir : le Cor Vastiri, qui serait capable de maîtriser les vents. Le temps a malheureusement effacé de nos mémoires l'endroit où il se trouve… {mais}… peut-être pouvons-nous le reconstruire. Il nous faudrait marcher sur les traces de notre plus grande héroïne, Orbala, lors de sa dernière aventure. Allez voir Asala, elle connaît cette histoire ainsi que l'endroit où elle pourrait nous mener. Dites-lui comment vous souhaitez procéder. Et si vous avez des questions, venez me consulter ; je vous partagerai mon savoir. — Dissiper la tempête de sable |
Ah, le cor… Comment pourrais-je résumer une histoire qui s'étend sur sept jours ? Il fut créé pendant la huitième aventure d'Orbala, sa dernière quête avant de devenir la sekhema des sekhemas… Lorsqu'elle parvint à contrôler les trois éléments. Sa fidèle monture, le grand mastodonte Ekbab, donna ses défenses pour canaliser la foudre. L'essence de l'eau était un secret enfoui au cœur de Keth… Et le feu primordial devait être gagné auprès de ceux qui l'apportèrent jadis à Wraeclast. Nous trouverons ce que nous {cherchons} dans la vallée des Titans. Oui… il nous faut ces trois éléments. — Fabriquer un nouveau Cor |
Ce n'est pas la première fois que les sables se retournent contre nous. Le nécromancien aux noires suppurations, Saresh, affronta autrefois les Marakeths dans les régions désertiques naissantes de cette ère. Il contrôlait non seulement des armées de morts, mais aussi de vastes tempêtes tourbillonnantes. Face à cette menace, Orbala se mit en quête de maîtriser les éléments, et, dans trois lieux de pouvoir, elle fit ses preuves face aux vents. Elle remporta ainsi ce que l'on appelle aujourd'hui le Cor Vastiri. Lorsqu'elle fit retentir le cor, son souffle fut si {puissant} que toutes les tentes de la plaine furent arrachées. Les tempêtes de sable du nécromancien ne firent pas le poids… Profitant de cette opportunité, les {akharas}, alors unis, lancèrent l'assaut contre les hordes de Saresh. Cette victoire valut à Orbala d'être nommée sekhema des sekhemas. Après de nombreuses années de règne par la force et la sagesse, elle devint notre Reine des vents, grande déesse des Marakeths. Son nom divin était Garukhan, qui signifie « souveraine ultime ». Les légendes, malheureusement, ne font plus aucune mention du cor après ces événements. — L'histoire du Cor |
La beauté de ce rubis est envoûtante. Peut-être que mon imagination me joue des tours, mais j'ai comme l'impression que quelque chose m'observe à l'intérieur. — Le Rubis de flamme |
Des défenses dignes de la fidèle monture d'Orbala ! — Les défenses du Mastodonte |
Une déesse de l'eau reposait au cœur de Keth ? Je me demande quel était son rôle, autrefois. Mon devoir sacré est de préserver nos récits, mais je ne sais rien de cette divinité ! Comment les Marakeths ont-ils pu oublier une entité d'une telle importance ? — L'Essence de l'eau |
Une déesse de l'eau reposait au cœur de Keth ? Halani ! Je me demande quel était son rôle, autrefois. Mon devoir sacré est de préserver nos récits, mais je ne sais rien de cette divinité ! Selon nos légendes, Halani était le nom de la seconde rivière de Keth… la vérité a donc été déformée au fil les générations. Comment les Marakeths ont-ils pu oublier une entité d'une telle importance ? — ZarkaA2AcceptsEssenceOfWaterNamed |
Continuez à marcher sur les traces d'Orbala, mon enfant. Son histoire comporte encore deux actes. — ZarkaA2TwoMoreThings |
Continuez, mon enfant. Nous sommes bientôt à la fin de l'histoire d'Orbala. — ZarkaA2OneMoreThing |
Impressionnant ! Nous avons désormais tout ce dont nous avons besoin pour reconstruire le Cor Vastiri. Il suffit de quelques ajustements… Hmm, je crois que le rubis va ici… Il faut imprégner l'essence de l'eau… Je vais serrer un peu ceci… et détacher cela… Oh ! J'espère que ce n'était pas important… Bien. Elle est {presque} à l'image du cor d'origine. J'aurais pu faire mieux si mes doigts étaient plus agiles. Il ne provoquera peut-être pas d'ouragan, mais il fera l'affaire. Tenez, prenez-le. Vous avez relevé les épreuves d'Orbala, c'est à vous de le faire retentir. — Le nouveau Cor |
Des défenses ordinaires ne suffiront pas. Vous devez trouver la dépouille du plus grand mastodonte des terres désolées, Ekbab, la fidèle monture. Vous reconnaîtrez ses ossements quand vous les verrez. — ZarkaA2MapUIMastodonBadlands |
Il est dit que l'essence de l'eau est conservée au cœur de Keth, à la source des sept rivières. Les sables ont englouti la cité, mais il est toujours possible d'y pénétrer. Il vous faudra trouver le sanctuaire qui se cache au cœur des autels. — ZarkaA2MapUIKeth |
Nous devons honorer les pactes ancestraux. Vous avez la permission d'entrer dans la vallée des Titans, mais seulement pour le Rite de la flamme. Trouvez le perchoir cristallin, invoquez le rite, faites vos preuves… puis partez, vite. — ZarkaA2MapUITitanValley |
Pendant l'Hiver du monde, l'épreuve à passer pour devenir {dekhara} était brutale et sans pitié. Elle était supervisée par l'une de nos premières déesses, Varashta, dans un ensemble de salles sous les sables. C'est là qu'un aspirant et son mentor pouvaient tous deux se couvrir de gloire. — ZarkaA2MapUIAscendancyTrial |
Vous avez fait beaucoup de bruit parmi les conteuses lorsque vous avez refusé de devenir l'une des nôtres… Certaines parlent encore de vous. J'espère que votre exil vous a enseigné le respect. Si je m'arrêtais pour compter les jours, je dirais que votre retour dans les plaines de Vastiri est quelque peu prématuré… Mais mon grand âge obscurcit certainement mon sens des saisons. Je ne dirai rien si vous en faites de même, ma fille. — ZarkaA2BanishmentGossip |
Il est rare de croiser vos semblables sur ces terres, moine. Faites attention. Le Troisième pacte s'applique toujours à vous… et à votre maître. — ZarkaA2TheDreamerGossip |
En tant que serviteur du Rêveur, le Troisième pacte vous interdit explicitement l'accès à la vallée des Titans. Hmm… mais la nécessité prime parfois sur la tradition. Faites ce que vous avez à faire et n'en parlez à personne. — ZarkaA2TitanValleyForMonkGossip |
Ah, Deshar, la cité des Morts ! En ces temps difficiles, on pourrait croire que les morts ressuscités y vivent. Si on peut qualifier de vie cette forme d'existence. Non, non. Bien avant que nous n'ayons à nous préoccuper des morts-vivants, nous avons bâti d'imposantes flèches pour rendre les nôtres aux cieux. Nos Défunts honorés reposent à l'air libre sous le soleil, et non pas enfouis sous le sol. Avec le temps, ils sont balayés et deviennent le vent et le sable que vous ressentez sur votre peau en ce moment même. Je vais bientôt me rendre à Deshar moi-même, une fois que j'aurais formé une remplaçante. Je pourrais attendre, mais je préfère affronter la mort debout. Qui sait ? Je serais peut-être la première mortelle à gagner ce combat et à vaincre Nekraata en lutte spirituelle. Je n'en ai peut-être pas l'air aujourd'hui, mais j'étais une adversaire redoutable dans ma jeunesse ! — Deshar |
Ah, Deshar, la cité des Morts ! En ces temps difficiles, on pourrait croire que les morts ressuscités y vivent. Si on peut qualifier de vie cette forme d'existence. Non, non. Bien avant que nous n'ayons à nous préoccuper des morts-vivants, nous avons bâti d'imposantes flèches pour rendre les nôtres aux cieux. Nos Défunts honorés reposent à l'air libre sous le soleil, et non pas enfouis sous le sol. Avec le temps, ils sont balayés et deviennent le vent et le sable que vous ressentez sur votre peau en ce moment même. Deshar est notre monument le plus sacré… Je vais bientôt m'y rendre moi-même, une fois que j'aurais formé une remplaçante. La plupart des Marakeths attendent que leur corps faillisse, mais je préfère affronter la mort debout. Qui sait ? Je serais peut-être la première mortelle à gagner ce combat et à vaincre Nekraata en lutte spirituelle. Je n'en ai peut-être pas l'air aujourd'hui, mais j'étais une puissante mage dans ma jeunesse. — Deshar |
Jamanra ? Voilà une histoire que je raconte rarement. Toutes les deux ou trois générations, les Fariduns sèment la zizanie. Jamanra a été leur meilleure tentative de causer des problèmes. Il y a très longtemps, il colportait des idées dangereuses parmi les parias et parlait aux Marakeths comme s'il était leur égal. Ses insultes étaient si grandes que les sekhemas se sont unies pour le réprimander. La légende raconte qu'il était tellement en admiration face à la gloire de nos dirigeantes, qu'il mit fin à sa propre vie et choisit de tomber dans l'oubli dans les sables. La fin de cette histoire est plutôt étrange, je dois l'admettre. Mais c'est ce qu'on raconte. S'il a été ressuscité par la corruption, il n'aura qu'un seul objectif : nous faire du mal. — Jamanra |
Je dois vous avouer que ce que je sais de Jamanra est plutôt… entaché de préjugés historiques. Je m'engage sur l'honneur à faire des recherches plus approfondies avant de raconter à nouveau cette histoire. — Jamanra |
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